Publié Le lundi 22 août 2022
La plus-value immobilière désigne le gain réalisé lors de la vente ou la cession d’un bien, suite l’accroissement de sa valeur. Sauf exception, elle est soumise à l’impôt sur le revenu. La plus-value peut advenir lorsque le bien a connu une transformation, mais certains facteurs externes peuvent également jouer, comme l’emplacement. Mais alors, comment la calcule-t-on ? Quelles taxes s’appliquent ? Dans quels cas peut-on être exonérés ? Max Immobilier, agence immobilière à Ajaccio, répond à toutes vos interrogations
Avant de s’inquiéter de l’imposition de la plus-value, il faudra d'abord parvenir à augmenter la valeur de son bien. Pour cela, plusieurs types de travaux sont possibles :
La première chose à savoir : c'est le notaire chargé de la vente qui détermine la plus-value imposable et le montant de l'impôt qui lui est lié.
Divers facteurs doivent être pris en compte afin de calculer la plus-value immobilière, à commencer par le prix de vente. Si elles peuvent être justifiées, les dépenses liées à la vente - notamment la mainlevée d'hypothèque, les honoraires versés à l'agent immobilier, le prix des diagnostics obligatoires - peuvent en être soustraites. En revanche, les frais et indemnités prévues dans l'acte au profit du vendeur doivent être inclus dans le prix de vente. Le prix sera égal à la valeur en capital de la rente, diminuée des intérêts, si le bien est vendu en contrepartie d'une rente viagère.
Bonne nouvelle, il existe cependant plusieurs situations dans lesquelles la plus-value immobilière réalisée n’est pas imposable.
D’autres cas peuvent impliquer une exonération, en cas de divorce, ou si le vendeur du bien dispose d’une carte d’invalidité. Les politiques fiscales évoluant rapidement, on veillera donc à rester vigilant des évolutions de la taxation des plus-values immobilière avant de réaliser la vente de son bien.
source: meilleursagents.com
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